Terre de l'espoir
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Terre de l'espoir

The JdR
 
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 Da'Laeck

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Da'Laeck

Da'Laeck


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MessageSujet: Da'Laeck   Da'Laeck Icon_minitimeSam 3 Mai - 20:30

Ce-Rat : Khrÿn
Sexe: Pas encore choisi par une femelle, je suis libre.
Nom: Je ne me permettrai pas de creer un personnage de haute naissance, désolé.
Prénom: Da'Laeck
Surnom (facultatif): Sur-Da'Laeck (Trop facile, désolé..)
Âge: Physiquement, 20 ans, et temporai(l/r)ement presque autant
Taille: 1m81
Poids: 55 kilos, j'ai faim..

Description mentale/morale: Simplement un pion. Avec des tendances, à force, puisque s'enfonce petit à petit dans une folie masochiste, mais c'est un detail mineur.. Il cherche d'ailleurs une personne pour lui faire des calins en laisse, si interessée..

Description physique/vestimentaire:
Maigres vêtements poussiéreux, élimés au possible, voir même miteux.. Ne pensez pas voir son visage, la capuche est et restera clouée à sa tête..Même si celle-ci est menacée de ne plus l'être au corps.

Signe particulier:
Cicatrice tout le long du dos. si vous la voyez, c'est que soit vous etes une pervers, soit vous jouez avec lui, soit vous le dépouillez.

Historique:
Tout le monde sait que les mâles Khryns sont reconnus comme inférieur, comparé à la femelle. Si seulement j'étais né de sexe opposé, je ne serai pas de cette impasse actuelle.
Voilà donc mes origines, histoire que je n'ai pu deduire en partie que bien plus tard.

Il semblerait que ma mère, ou plutôt, ma genetrice, ait accouchée de "ça" lors d'un raid contre les humains. On m'a donc logiquement abandonné, les mâles ayant autres choses à faire que de s'occuper d'un nouveau né en temps de guerre, et les femelles, n'en parlons pas.

C'est donc dans des ruines que je fus trouvé, déposé avec toute la délicatesse de la civilisation Khryne, dans une maison flambant de vives flammes. Pour tout vous dire, j'ignore comment j'ai survécu, si ce n'est que j'ai une cicatrice prenant tout une partie de mon dos.. Peut-être ont-elles aimés lécher mon dos, espérons au moins que ça ait profité à quelqu'un.
Toujours est-il que je fus récupéré, par une bande de maraudeurs en désir de butin oublié, la seule femme du groupe étant assez influente pour pouvoir me garder au sein de cette équipée.

On aurait pu penser qu'à partir de là, j'aurai eu la vie douce, vu ce qui pouvait m'attendre chez les Khrynes. Pourtant, dès que je pus marcher, je commençai à les servir. Servir des vagabonds, apprenez-le, n'est pas enviable. Non seulement, vous n'etes pas sûr de manger, mais dormir sur ses 2 oreilles tient du miracle.
Ajoutons à cela la forte probabilité de n'être qu'une raclure sans destin, et les tâches journalières qui n'étaient pas très gratifiante. Par exemple, en plus de dépouiller les morts et d'alléger les bourses de quelques bourgeois en ville, je faisais la plonge, voir même du ménage. Mon traitement ne fut pas des plus doux : chacune de mes erreurs me valait une estafilade, sous prétexte que je devais leur être reconnaissant et obéir pour avoir sauvé ma misérable vie. Comme si ça avait changé..
Le plus marquant fut une de mes premières fois, lors d'un vol à la tire. Inexpérimenté, je visais haut.. trop haut. Et fus pris la main dans le sac. L'animal, cousu d'or, ne pouvant se résoudre à me faire punir, mon physique me faisant passer pour malade, et probablement contagieux, attendit que l'on vienne me chercher, pour me rendre à ma prétendue "mère". De honte, elle implora pardon auprès du prince et m'emmena sans finesse me récompenser pour ma bévue, sur cette brûlure qui toujours me démangeait. Attaché, elle m'ouvrit l'ancienne plaie, lacérant à coups de ceinture, jouant du couteau pour écarter les chaires nouvelles.. A chaque perte de connaissance, elle venait me susurrer à l'oreille des mots d'une tendresse incroyable, enfonçant avec un plaisir malsain son doigt dans ce qui me sert de carapace mortelle.
*Résister, ne pas lui donner le plaisir de m'entendre crier*. Sauf que c'est plus facile à penser qu'à faire.
Mon dos n'était plus que lambeaux dégoulinants.
Délaissé alors, pendant quelques heures, avant de m'arroser à grande eau, ravivant le feu de mes blessures. Feu qu'elle appliqua ensuite, selon ses mots " Pour que tu n'oublies pas d'où tu viens". La guérison, finalement, fut rapide, et mon dos ne changea pas de grand chose. Au point que je finis par me demander qui est le véritable responsable de cette blessure.
Le temps passa, et malgré mes progrès pour les larcins, ma facilité à ma servir de mes 2 mains pour tout et n'importe quoi, je restai un poids, un boulet.
De façon imagée comme réelle. Quand nous étions en groupe, et que je n'étais pas sensé courir les bourses, j'étais tenu en laisse.
C'est grâce à cela que je fus sauvé.
Alors qu'elle me "récompensait" publiquement, sans paroles de ma part depuis peu, l’exaspérant de plus en plus; un homme mur, en toge, se joignit à la foule pour admirer le spectacle. La femme, m’appelant par des quolibets colorés, fit comprendre que je leur était inutile, et plus encore. L'homme recherchant un valet qui serait intriguant, qui pourrait faire l'objet de moult histoires à son sujet, vint en ma défense, ayant trouvé l'objet de sa convoitise.
-" Madame, si cette personne vous est si inopportune, sans vouloir vous ordonner, laissez-la donc à son destin en la relachant, plutôt qu'en l'humiliant en public.."
-" Si je puis me permettre, l'homme, retourne à tes livres et occupe-toi de ce qui te regarde."
-" Justement, ceci m'intéresse, de comprendre pourquoi vous vous acharnez sur une personne qui ne vous a rien fait."
-" Ca me doit tout. Je n'ai pas à me justifier à un vieillard sénile."
-" Dans ce cas, permettez que je m'en occupe."
-" Vous pensez vraiment pouvoir l'emmener sans monnaie sonnante? Je vous vends ça, dit-elle en m'assenant un énième coup de pied, pour 10 pièces d'argent."
-"Pensez-vous vraiment que je possède 1 couronne d'or sur mo.."
-" Votre bourse me parait bien lourde, et je suis certaine de la pouvoir soulager. C'est à prendre ou à laisser", déclara-t-elle, dégainant alors une dague, se penchant sur moi, un sourire éclairant son visage.
Le vieil homme, voyant son absurdité blanchâtre lui échapper, finit par plonger la main dans sa besace, une grimace affichée gracieusement sur son faciès. Il s'approcha alors doucement, sortant la main avec une vitesse équivalente. Se penchant, il déposa la monnaie au sol.
Les yeux de la femme brillèrent, sa langue humidifiant ses lèvres rêches. Sa dague ne fit qu'un tour, me coupant à la joue, avant de rejoindre son fourreau. Elle se releva alors à son tour, ramassa mon prix, jeta la laisse à l'encontre de mon acheteur, puis se retourna et partit.
*Sauvé, libre !?* C'est ce que je pensais, jusqu'à me jeter dans les bras de mon bienfaiteur. Le retour fut cuisant. Pour ne pas dire, frappant. Un revers cinglant. Son air était devenu encore plus sévère qu'auparavant. Ramassant la chaîne, il me traîna jusqu'à sa demeure, faisant tout pour échapper à une nouvelle vie s'annonçant finalement aussi tortueuse, m'écorchant ongles et genoux à ralentir ma possible fin.

Arrivé, ensanglanté, en guenilles me couvrant à grande peine, on me laissa au soin des autres servants. Au moins, j'avais la preuve que je ne serais pas le bon à tout faire...
Lavé, habillé de manière correcte, je fus reçu par le "maître".
*Quel enfoiré, hypocrite égocentrique." fut une de mes seules pensées.
Il m'expliqua mon rôle: je serai le cadeau * Un quoi ?* d'anniversaire de sa fille, un valet mâle "différent", d'âge sensiblement identique.
Je fus prévenu qu'un seul faux pas, une disgrâce de la part de sa fille, et je serai décapité. Il m'expliqua aussi que si je comptais m'affranchir, il me faudrait payer 10 pièces d'argent, plus les intérêts grandissant avec le temps.
N'étant pas dupe, j'avais bien compris que je risquai de voir passer sa descendance, de jeune fille jusqu'à grand mère.
Il me sembla que j'avais alors 15 ans.. Et vu le seul lien que j'avais tissé avec une femelle, je ne pouvais qu'être à la fois craintif, et haineux..
Pourtant, je ne fis qu'acquiescer, finissant même par me retirer avec une courbette. Un valet me montra ma chambre, ou plutôt, mon dessous de toit. On m'ordonna d'y rester, afin de ne pas gâcher la surprise (*Quelle joie pour moi..*) et pour me montrer qu'on me faisait confiance, je fus enfermé.
Cela me laissait tout le temps d'explorer mon recoin et de l'aménager par mes soins. D'un mètre sur 2, il était composé d'une paillasse, d'une couverture, ainsi que, luxe, d'une petite fenêtre. *Sûrement pour économiser les bougies...*
Evidemment, cette dernière ne s'ouvrait pas, c'aurait été trop beau.. Dans la chaleur, je finis par m'endormir à même le sol.

Je fus réveillé très tôt par une femme, habillée de manière similaire à la mienne. Je sursauta, effrayé, au point que je partis me réfugier au fond de la pièce.. Soit à quelques dizaines de centimètres d'elle. Son visage exaspéré me tendit une assiette, avec de quoi manger.
Repu, elle me poussa à sortir, de manière à ce que je fus emballé et empaqueté pour être présenté à ma future maîtresse.


Dernière édition par Da'Laeck le Jeu 15 Mai - 19:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Da'Laeck   Da'Laeck Icon_minitimeSam 3 Mai - 20:30

Je ne connaissais pas la signification d'un cadeau, ni même ce que ça représentait. Tout ce que je savais, c'est que j'allais avoir un maître femelle. Menacé, on me fit entrer dans une autre pièce, autrement plus grande que la mienne. Rangée, elle restait très sobre, mais fatalement triste. Seul le lit paraissait un enchanteur, les rideaux étant tirés.
C'est alors que l'homme arriva, me jetant un regard d'avertissement (* Tiens, maintenant que tes esclaves ont fait le boulot, on ramasse la mise..?*) il alla réveiller la belle au bois dormant.
D'abord, ce fut des grognements, des soupirs, puis une tête qui émergea d'un drap dépassant l'entendement, de par son épaisseur, que par sa longueur. Autant dire que le réveil matinal ne lui donnait pas un air gracieux. Mon dégoût pour la femme en fut augmenté. Les serviteurs furent dépêchés pour la petite princesse, la peignant, lui faisant enfiler devant moi un vêtement plus décent..
C'est alors qu'elle se tourna vers moi. Un sourire se dessina, regardant tour à tour son père et moi. Il lui expliqua les clauses de leur accord me concernant, notamment que j'étais sous sa responsabilisée, et qu'elle avait tout pouvoir sur moi.
Alors que l'homme lui tendait ma laisse, elle approcha et se jeta littéralement sur moi, dans un cri qui me stupéfia. Je tombai à la renverse, m'écrasant lourdement au sol.
Horrifié, je ne pus bouger d'un pouce. Elle, se releva doucement. Elle était toute rouge. Sur le coup, je ne compris pas, mais ce fut en l'entendant que je compris: "Excuse-moi, je ne t'ai pas fait mal?"
Ma surprise fut à son comble. Une jeune femelle d'une brutalité sans pareil, et qui ,après coup, s'inquiète de mon état...*Sûrement qu'elle a peur d'abîmer trop tôt son jouet...*
-"Quelque chose ne va pas? Comment te prénommes-tu?", et ce, avec un sourire.
*C'est un démon, elle veut me tenter.*
C'est ce moment que choisit le vieux pour sortir avec ses suivantes, me laissant seul aux soins de sa fille.
La porte fermée, j'allai me réfugier dans le coin le plus sombre de la pièce. Il sembla alors qu'elle fut étonnée, et un peu déçue, quoique amusée.
-" Tu ne sais pas parler?"
Je fus tenté de répondre, et seul un "Si, mademoiselle" s'échappa, plus proche d'un sifflement qu'autre chose..
Ma réponse la ravit, et je la vis s'approcher en sautillant, guillerette. Ma réaction ne fut que plus prévisible, et je m'enfuis dans un autre coin de cette salle immense.
Désappointée, elle s'assit au milieu, et engagea une conversation, de manière à tenter de me mettre en confiance..
-" Je suis Ambre. Ne m'appelle pas Mademoiselle, s'il te plait.. Ni quoi que ce soit d'autre. Juste Ambre. Et toi, comment tu t'appelles?"

Me serai-je trompé, ai-je eu tort de penser que les femelles étaient toujours mauvaises?
-"On m'appelle souvent "Vaurien" ou "Bon à rien".."
Surprise, elle se releva d'indignation, et déclara simplement que ce n'étaient pas des prénoms, mais plutot des insultes.
-"Tu ne connais véritablement pas ton prénom? Qui sont tes parents?"
-"Mes parents?"
-" Ton papa et ta maman, si tu préfères.."
*Encore une chose que je n'ai pas.. Suis-je si malchanceux que ça..?*
Un non de la tête lui fit comprendre l'essentiel.
Elle me questionna alors sur mon apparence, mes cheveux, ma peau. Et petit à petit, répondant, elle trouvait un moyen de se rapprocher.
Je n'osais plus bouger, quand je me rendis compte qu'elle s'était retrouvé à moins d'un mètre de moi.
Elle avait un visage finement ciselé, des cheveux mi-longs couleur d'or cerclant sa tête. Et des yeux, d'un orange jaune, l'iris noir se posant dessus telle une goutte d'encre dans de l'eau. Sûrement lui venait de là son prénom..
Je me mis en boule une fois de plus, tentant d'échapper à une main qui ne cherchait qu'à mieux me échapper..
-" Il te faut un prénom. Je ne peux pas t'appeler "tu" indéfiniment!"
Je fus sauvé, quand une servante s'introduit dans la chambre, dans le but de venir faire déjeuner la demoiselle, et de s'occuper de sa couche..
Pendant qu'elle avalait goulûment son repas, malgré son regard toujours porté sur moi, je pris la fuite en direction du seul lieu que je connaissais : ma chambre.
Trappe fermée, j'essaya de bloquer l'entrée par mon futon. Je fus un calme un certain moment ,quand une esclaves du maître vint me faire quérir, la demoiselle me demandant. Je ne pus que me contraindre de la rejoindre, traîné par ma laisse.
Assise sur son lit, je remarqua une couche installée près du lit.
Elle intercepta mon air interrogatif, et répondit de suite à ma question: "Tu dormiras avec moi, dorénavant !"
Son air malicieux et son sourire lui prenant la moitié du visage ne m'effraya que d'avantage.
Le reste de la journée fut semblable à la matinée, tenant en vain de m'approcher. Pourtant, il me fallait céder : si je la décevais de manière excessive, je finirais sous la hache du bourreau, sans autre forme de procès que la demande du « maître ». Je finis donc par prétendre la fatigue, me recroquevillant, de peur réelle sur ma couche, attendant de voir sa réaction. Mon cœur accélérait à mesure qu’elle se rapprochait.2 mètres, puis 1. Je vis un genou se poser doucement sur le parquet brillant, avec un bruit sourd atténué par les habits de bonne qualité. Puis un deuxième. Je retins ma respiration : elle avait pris une couverture, et me bordait. J’étais tétanisé. Mon visage me brûlait, alors que je ne me sentais pas malade.
Elle remarqua ma respiration saccadée. Grillé .

Le temps passa ainsi, l’une cherchant l’autre, et… surtout dans ce sens. Notre relation finit par être ..amicale ?, au point que je ne la fuyais presque plus, sauf quand elle me cherchait des.. «câlins»…que je finissais par accepter : elle restait ma maîtresse, dans tout les sens du terme. C'est une des choses qui entraina la perte de notre relation, que son père n'appreciait pas apparemment. L'autre fut la visite d'un de ses amis ecclesiastique, une catastrophe. Alors que mon sur-maitre decida de presenter sa fille, et moi par la même ccasion, le devot en tunique blanche fut horrifié à ma vue, au point de devenir plus blème que je ne peux l'etre naturellement. Après ce mouvement de surprise, ce fut une nouvelle identitée pour moi : monstre, démon. Evidemment, le noble marchand ne pouvait pas se permettre de perdre si bon contact, et me renvoya hors de sa vue. Puis me repudia tout court.
Cette décision fut évidemment prise sans l’avis d’Ambre : j’avais jusqu’au soir pour partir.
Elle, se rependit en larmes, supplia son père à moult reprises, et menaça même de mettre fin à sa vie.
Moi, pour écourter son malaise, partit sur la minute. Je lui promis que nous nous reverrions. J’emportai avec moi mes guenilles d’avant, capuche jetée pour cacher ma peau. Et je disparus de la circulation, lâché dans un monde trop grand dont je ne connaissais qu’une chambre d’une maison, d' où je venais d’être banni.

Je repris mon activité d’antan, survivant de rapines d’abord, vagabondant, dormant ici et là. Puis quand mes moyens se stabilisèrent, j’entrepris de me trouver un logement fixe. Etrangement, je finis par me trouver dans une cave, qui décida de mon occupation actuelle : videur de poubelles antiques. Je cherche les tombeaux et me sers en objets colorés, fourguant ensuite ces décorations inutiles à des collectionneurs, ou à d’autres revendeurs qui les revendront encore plus chers à ces mêmes collectionneurs. Il m’arrive aussi de faire ce genre de chose sur commande : c’est ainsi que je mis aussi à vider les poches des morts actuels, les réveillant dans leur sommeil éternel au beau milieu de la nuit pour récupérer une bague… ou même le corps, pour des nécrophiles. Simplement, le risque dans les 2 cas est élevé, de se faire prendre, d’activer un piège, ou de se tromper de sépulture… Pourtant, je ne pouvais me résoudre à ramasser les cailloux et collecter les visages horrifiés de mes clients coupés au bol. Je finis donc par en coincer un plus que le temps des affaires normales, et grâce à ma sociabilité sans épreuves, lui fit cracher le morceau..pour de vrai. Bref, j'étais toujours un démon, mais je ne serais pas le seul. Demon des montagnes, infernaux, vils..Je vous passe les compliments supplémentaires.
J'entrepris donc de voyager, et notamment, de remonter vers le nord, où la chaleur etait moindre pour ma blanche peau.
La solitude du chemin me laissa donc le temps de ressasser ces quelques pensées, notamment dirigée vers ma maitresse abandonnée, dont je n'ai plus de nouvelles depuis des eternités..


Dernière édition par Da'Laeck le Jeu 15 Mai - 19:52, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Da'Laeck   Da'Laeck Icon_minitimeDim 4 Mai - 19:58

Hm...

Difficile à dire, mais pour le moment nous ne pouvons pas approuvé ta fiche. Uru et moi sommes entrain de discuter de comment on pourrait te demander de l'arranger. En effet, plusieurs points nous gênent.

Par exemple, le fait que l'histoire se déroule à la surface, ou encore le fait que l'histoire soit un peu trop fleur bleu (enfin, ça, ce sont mes opinions à moi).

Il nous faut encore voir ça avec Uru. Mais quoi qu'il en soit une révision va s'imposer, même si basiquement, l'histoire est vraiment pas mal ^^

Patience farao
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MessageSujet: Re: Da'Laeck   Da'Laeck Icon_minitimeDim 4 Mai - 20:22

Effectivement, j'ai déjà parlé avec.."Uru" du "problème" (pour vous) de la surface..
Mais de là à trouver mon histoire fleur bleue, pardon, mais je glousse doucement..
Bon débat, j'ai tout mon temps..
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MessageSujet: Re: Da'Laeck   Da'Laeck Icon_minitimeJeu 15 Mai - 19:38

Suite à la demande (très discrète, ce qui m'indigne d'avantage d'avoir à rendre bancale mon histoire)de.."correction" de ces sires, voilà la nouvelle mouture. Je vous ai fais le plaisir de ne pas marquer le debut de la modif, et de vous laisser vous demmerder pour commencer le rp en prison. Very Happy
-Promis, je ne m'évade pas de suite sur les terres humaines..-
..Attente de confirmation . . .
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Uru
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MessageSujet: Re: Da'Laeck   Da'Laeck Icon_minitimeJeu 15 Mai - 19:54

Soit.

Bon, sachant certaines choses, je valide. La suite sera EJ de toutes manières.
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Syör
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MessageSujet: Re: Da'Laeck   Da'Laeck Icon_minitimeJeu 15 Mai - 23:58

Je valide aussi.

Bon jeu Wink
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MessageSujet: Re: Da'Laeck   Da'Laeck Icon_minitime

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